Et Dieu dans tout ça?

Même si la Sainte Bible, ou bien le Coran, voir la Torah n’en parle pas ouvertement, il est évident que le football a joué un rôle essentiel dans l’histoire des hommes. Certes les Saintes écritures ne révèlent en rien, de façon explicite, les exploits d’un avant-centre ou ceux d’un gardien de but de renom, mais sachez lire entre les lignes et vous verrez que sans le nommer, le Calcio, le Soccer, le ballon rond, le foot, appelez-le comme vous voulez, était déjà bien présent il y a deux milles ans de ça.

J’en veux pour preuve certains termes usités de nos jours lorsque l’on parle foot : temple du football à propos de certains stades, le Dieu du football à propos de certains joueurs réputés. Que dire des  chants religieux qui réunissaient la population d’antan, si ce n’est que nous les retrouvons dans les tribunes agitées de tous les stades de foot. Comment ignorer la corrélation entre le grand maître de cérémonie qui haranguait naguère la foule, afin de créer l’unité et le monothéisme et l’homme, torse nu, perché au milieu d’une tribune de stade, porte-voix à la main, donnant le la à la foule en délire, prête à répéter, sans relâche, le prêche du leader du club de supporter ?

Faut-il être aveugle pour ne pas s’apercevoir de la similitude entre les rites religieux millénaires et les coutumes footballistiques en cours : Combien de fois, pendant la messe, doit-on se lever puis s’asseoir ? N’y voyez-vous pas là une Holà digne  d’un stade survolté ? Et ce prêtre qui lève la coupe emplie de vin, avant de boire le sang du Christ ? Combien de fois avez-vous vu le Club lever la sienne, après la victoire obtenue par une lutte où chacun des joueurs a versé sang et eau.

Une autre preuve ? Onze joueurs et deux remplaçants, treize individus, structure de base pour une équipe qui veut en découdre sur le terrain. Combien étaient-ils autour de la table lors du dernier repas du Christ ? Douze apôtres et lui. Saint-Pierre, Saint-Paul, pour Jésus, saint-Maximum et Saint-Ruf pour le Sporting Club de Bastia, sans oublier les clubs de Paris qui est Saint-Germain et ce lui de l’A.S.qui est Saint-Etienne.

Comment ne pas voir que la position du gardien de but, immobile sur sa ligne, les bras ouverts, attendant le tir du penalty n’est pas une symbolique direct de Jésus en croix ?

Je ne vais pas plus loin dans ma démarche de détailler chaque similitude flagrante, reliant le football à la religion, je vous laisse le soin, dorénavant, de regarder un match d’un autre œil et de croire, à chaque instant, au miracle divin, lorsque votre équipe est en difficulté.

Oui le football est né en même temps que sont nées les religions du monde, j’en veux pour preuve que toutes les religions du monde, depuis des millénaires, attendent le messie et que pour l’heure… il est à Barcelone.

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